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Rupert Sheldrake

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Les résonances morphiques sont les habitudes de la nature. 

Les études sur la résonance morphique de Rupert Sheldrake bouleversent la pensée matérialiste.
Rencontre avec le biologiste du « vibratoire » lors du 2e congrès de thérapie quantique(1) à Lyon.

Par Rupert Sheldrake



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Descriptif

GTao : Vous avez écrit qu’après neuf ans de recherches intensives, il vous était clairement apparu que la biochimie ne vous aiderait pas à savoir pourquoi les choses ont la forme qu’elles ont. Est-ce ce constat qui a orienté vos recherches vers les champs morphogénétiques ?
Rupert Sheldrake : Oui, j’ai travaillé, il y a longtemps maintenant, à l’Université de
Cambridge pour connaître ce qui déterminait la forme des plantes. A savoir que les mêmes substances chimiques se retrouvent tout autant dans une rose que dans une salade ou une autre plante. Par ailleurs, toutes les cellules ont les mêmes gènes, mais ont des formes différentes. L’explication n’étant pas d’ordre génétique, je me suis intéressé aux champs morphogénétiques qui avaient été découverts par Hans Spemann, Alexander Gurwitsch et Paul Weiss. Certains pensaient alors que ces champs n’étaient qu’une manière de définir ce que l’on ne comprenait pas. D’autres, qu’ils correspondaient à des équations mathématiques qu’il fallait découvrir. Le concept platonicien des Idées aurait pu nous aider, mais les êtres vivants ne cessent d’évoluer dans le temps.
Ils ne sont pas figés ; ils ont une réalité dynamique. Les champs morphogénétiques semblaient stocker de l’information, de la mémoire. Pendant deux années, je me suis beaucoup penché sur le sujet, et puis, j’ai lu Henri Bergson : «  Matière et mémoire » ; ce qui m’a permis de comprendre que la mémoire n’est pas stockée physiquement, c’est un processus diffus qui s’imprime à travers le temps. Ce qui m’a amené à l’idée de résonance morphique.

GTao : Vous définissez la résonance morphique comme les habitudes de la nature. Existe-t-il de mauvaises habitudes ?
R. S. : Oui, mais selon l’idée de l’évolution darwinienne, une mauvaise habitude de la nature ne survit pas. Les humains considèrent que les moustiques ont la mauvaise habitude de les piquer, certes, mais c’est une bonne habitude pour les moustiques, car cela leur permet de survivre.

GTao : Les épidémies pourraient-elles être liées aux champs de résonance ?
R. S. : Aujourd’hui, toutes les épidémies sont expliquées en termes de germes, de bactéries, de virus, mais il pourrait y avoir une explication en terme de champ morphique. A travers l’histoire, nous voyons des maladies apparaître, puis disparaître, et ce n’est pas seulement lié à la consommation d’antibiotiques. Nous remarquons par exemple aujourd’hui une augmentation très significative des allergies et personne ne sait pourquoi. Idem pour l’autisme chez les enfants. ...

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