L'état électrique de l'air dans lequel nous vivons, en étroite relation avec la nature et la quantité d'impuretés qu'il peut contenir, est l'un des facteurs fondamentaux de notre équilibre physiologique et de notre maintien dans un état de santé satisfaisant. Une trop forte concentration en ions positifs provoque des déséquilibres biologiques générateurs de nombreux troubles pathologiques tant physiques que psychiques et, à l'inverse, un fort pourcentage d'ions négatifs est bénéfique pour garder ou retrouver le meilleur équilibre physiologique possible(1). Malheureusement, en milieu confiné, nous subissons passivement la prédominance des ions positifs, et respirons un air souvent vicié. C’est ici qu’interviennent les appareils de purification de l’air, qui produisent mécaniquement une quantité suffisante d’ions négatifs.
Purification de l’air
Le rôle bénéfique des ions négatifs ne se limite pas à un effet biologique local mais influence l'ensemble de nos fonctions vitales. Ne serait-ce que pour assimiler correctement l’oxygène dont nos cellules ont besoin, l’air que nous respirons doit contenir au moins 2000 ions négatifs au cm3. Si à la montagne cette proportion atteint les 8 000 cm3, en ville nous en sommes très loin : 200 ions négatifs par cm2, avec un triste record pour l’habitacle de nos véhicules. Les conséquences sur notre santé sont nombreuses : fatigue nerveuse, irritabilité, maux de tête, somnolence, troubles de la concentration et de la vigilance, difficultés respiratoires, etc… Nos habitations se trouvent également être très touchées par cet « empoisonnement atmosphérique » et pour y remédier, on trouve aujourd’hui de nombreux appareils qui cumulent souvent les fonctions de purification et d’ionisation de l’air :
L’ionisation de l’air a pour but de redonner à l’air ses qualités d’origine en terme de concentration d’ions négatifs. Une autre action est un nettoyage des micropoussières et micropolluants. Les ions négatifs, qui fonctionnent comme des aimants, sont irrésistiblement attirés par les particules de poussières neutralisant leur polarité positive et formant un agglomérant négatif plus lourd que l'air qui précipite ces particules au sol. Avec le purificateur d'air intégré, un filtre à charbon actif(2) ou un filtre électrostatique(3) aspirent les particules en suspension dans l'air, absorbant les plus grosses poussières, fumées et les mauvaises odeurs.
(1) op. cit. L'air en péril, par le professeur Jacques Breton, Ed. Vivez Soleil.
(2) Le charbon actif ne masque pas les odeurs mais les absorbe. Il fixe, en effet les molécules sur la face interne de ses pores sous l’effet de forces d’attraction moléculaire.
Vous aimerez aussi
Commentaires